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Translations:Kenya/62/fr: Difference between revisions

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En 2013, un étude de l'Institut Guttmacher déclare que "Plus des 3/4 des femmes traitées pour des soins post-avortement avaient des complications modérées ou sévères, comprenant  une température élevée, des infections, ou des défaillances d'organes, qui peuvent demander des traitements importants ou une hospitalisation. Les retards dans les demandes de soins ou dans l'annonce aux professionnels de santé qu'elles ont tenté d'interférer avec la continuation de leur grossesse étaient étroitement liés à la sévérité des complications. De plus, le Kenya a un taux relativement important de 266 décès pour 100,000 procédures risquées".ref>[https://www.guttmacher.org/fact-sheet/womens-lives-matter-preventing-unsafe-abortion-kenya Women’s Lives Matter: Preventing Unsafe Abortion in Kenya]</ref>
En 2013, un étude de l'Institut Guttmacher déclare que "Plus des 3/4 des femmes traitées pour des soins post-avortement avaient des complications modérées ou sévères, comprenant  une température élevée, des infections, ou des organes défaillants, qui peuvent demander des traitements importants ou une hospitalisation. Les retards dans les demandes de soins ou dans l'annonce aux professionnels de santé qu'elles ont tenté d'interférer avec la continuation de leur grossesse étaient étroitement liés à la sévérité des complications. De plus, le Kenya a un taux relativement important de 266 décès pour 100,000 procédures risquées".<ref>[https://www.guttmacher.org/fact-sheet/womens-lives-matter-preventing-unsafe-abortion-kenya Women’s Lives Matter: Preventing Unsafe Abortion in Kenya]</ref>. Pourtant, les avortements continuent. Selon des estimations, environ 1/5 des grossesses au Kenya sont interrompues tous les ans. Malheureusement, seulement 16% des centres de santé liés à la grossesse peuvent effectuer des aspirations intra-utérines, la méthode d'avortement chirurgical recommandée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Environ la moitié des avortements sont effectués dans des établissements privés, qui sont trois fois plus chers que les établissements publics, entravant ainsi l'accès à l'avortement pour les femmes les plus pauvres.<ref>[http://eaclj.org/about-us/7-fida-and-kclf-landscaped-comparison.html East African Center for Law & Justice: Abortion in Kenya]</ref>

Latest revision as of 10:23, 26 June 2018

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Message definition (Kenya)
In 2013, a Guttmacher Institute study found that "More than three-quarters of women who were treated for post-abortion care had moderate or severe complications, including high fever, sepsis, shock, or organ failure, which can require extensive treatment or hospitalization. Delays in seeking care and reporting to the provider that they interfered with the continuation of their pregnancy were highly associated with the severity of complications. Furthermore, "Kenya has a relatively high case-fatality rate of 266 deaths per 100,000 unsafe procedures."<ref>[https://www.guttmacher.org/fact-sheet/womens-lives-matter-preventing-unsafe-abortion-kenya Women’s Lives Matter: Preventing Unsafe Abortion in Kenya]</ref> Yet abortions continue. According to estimates, about one fifth of pregnancies in Kenya are terminated each year. Unfortunately, only 16% of Kenyan delivery institutions can perform vacuum aspiration, the surgical abortion method recommended by the World Health Organization (WHO). Generally, about half of all abortions are performed in private facilities, which are typically three times as expensive as public facilities, thereby hindering abortions for many low-income women.<ref>[http://eaclj.org/about-us/7-fida-and-kclf-landscaped-comparison.html East African Center for Law & Justice: Abortion in Kenya]</ref>

En 2013, un étude de l'Institut Guttmacher déclare que "Plus des 3/4 des femmes traitées pour des soins post-avortement avaient des complications modérées ou sévères, comprenant une température élevée, des infections, ou des organes défaillants, qui peuvent demander des traitements importants ou une hospitalisation. Les retards dans les demandes de soins ou dans l'annonce aux professionnels de santé qu'elles ont tenté d'interférer avec la continuation de leur grossesse étaient étroitement liés à la sévérité des complications. De plus, le Kenya a un taux relativement important de 266 décès pour 100,000 procédures risquées".[1]. Pourtant, les avortements continuent. Selon des estimations, environ 1/5 des grossesses au Kenya sont interrompues tous les ans. Malheureusement, seulement 16% des centres de santé liés à la grossesse peuvent effectuer des aspirations intra-utérines, la méthode d'avortement chirurgical recommandée par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Environ la moitié des avortements sont effectués dans des établissements privés, qui sont trois fois plus chers que les établissements publics, entravant ainsi l'accès à l'avortement pour les femmes les plus pauvres.[2]