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Name | Current message text |
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h English (en) | This is when the emotions kicked in and I just wanted to stay in the room and cry thinking about everything that had just happened, but I knew they wanted me to leave. I got dressed and made my way to the interview room. She explained to me again the things I needed to know for aftercare (i.e. take birth control every day for the month, antibiotics until they were complete and Ibuprofen for the pain). I started to cry and she gave me tissues and comforted me, which was really sweet of her. I walked out of the clinic, feeling a bit embarrassed as I walked past patients in the waiting room, trying to hold back tears. I went outside and ordered a motorbike taxi (bad idea, a seat in a cab would have been much more comfortable, but I didn’t want to sit in a car where someone would try and make conversation with me). When I got back to my hotel, I was still bleeding, but not as heavy as a period. I gave myself time to cry and be emotional but was so exhausted, both emotionally and physically, so I decided to take a nap. The morning sickness, which had prevented me from eating anything more than a smoothie a day for the past 2 weeks, disappeared almost immediately. I still had sore breasts for a couple of days and remained very tired for a couple of weeks. I felt extremely sad and depressed for a month and it’s slowly been getting better. Now, 3 months later, I feel a lot better about my decision than 2 weeks after the procedure, but it’s still the hardest thing I’ve ever done, even knowing it’s what I needed to do. |
h French (fr) | C'est à ce moment là que les émotions ont commencé à se faire sentir, et tout ce que je voulais, c'était rester dans la chambre et de pleurer en pensant à tout ce qui venait de se passer, mais je savais qu'ils voulaient que je m'en aille. Je m'habillai et me dirigeai vers la salle d'entretien. On m'expliqua encore une fois tout ce que je devais savoir concernant le suivi médical (c'est-à-dire prendre un contraceptif chaque jour pendant un mois, des antibiotiques, et de l'ibuprofène pour la douleur). Je commençai à pleurer, et la femme me donna des mouchoirs et me réconforta, ce qui était très gentil de sa part. Je sortis de la clinique, me sentant un peu gênée en passant près d'autres patientes dans la salle d'attente, en essayant de retenir mes larmes. Je sortis et appela un taxi moto (mauvaise idée, une place dans un taxi voiture aurait été bien plus confortable, mais je ne voulais pas m'asseoir dans une voiture où quelqu'un aurait essayé d'avoir une conversation avec moi). Quand je fus de retour à mon hôtel, je saignais toujours, mais pas autant que pendant mes règles. Je me donnai le temps de pleurer un bon coup, mais j'étais tellement épuisée, tant mentalement que physiquement, que je décidai de faire une sieste. La nausée matinale, qui m'avait empêché jusqu'à maintenant de manger plus qu'un smoothie par jour pendant ces deux dernières semaines, disparut presque automatiquement. J'avais toujours les seins douloureux pendant deux-trois jours, et restai très fatiguée pendant quelques semaines. Je me sentis très triste et déprimée pendant un mois, et ça s'est amélioré doucement. Aujourd'hui, trois mois après, je me sens beaucoup mieux vis-à-vis de ma décision que 2 semaines après la procédure, mais ça reste la chose la plus difficile que j'aie jamais faite, même si je savais que c'était la bonne chose à faire. |