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Translations:Kenya/9/fr: Difference between revisions

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Traditionnellement, les hommes ont toujours joué un grand rôle dans la planification familiale. Il est possible que les maris aient refusé l'utilisation de contraceptifs, ce qui fait que les pilules contraceptives (que les femmes devaient prendre tous les jours et étaient visibles), n'étaient pas une méthode sûre.<ref>[http://www.unfpa.org/news/family-planning-kenya-not-women-only Family Planning in Kenya: Not For Women Only]</ref>. Ces dernières années, le gouvernement kenyan publia de nouvelles recommandations concernant la planification familiale et l'utilisation de contraceptifs. Selon celles-ci, les travailleurs de santé locaux peuvent effectuer des injections de contraceptifs sur les femmes, et proposer plus d'activités pour promouvoir la contraception et éduquer la population.<ref>[http://www.theeastafrican.co.ke/news/More-women-Kenya-using-birth-control-/-/2558/2704266/-/42iy6j/-/index.html More women in Kenya using birth control as counties drum up support]</ref>
Traditionnellement, les hommes ont toujours joué un grand rôle dans la planification familiale. Il est possible que les maris aient refusé l'utilisation de contraceptifs, ce qui fait que les pilules contraceptives (que les femmes devaient prendre tous les jours et étaient visibles), n'étaient pas une méthode sûre.<ref>[http://www.unfpa.org/news/family-planning-kenya-not-women-only Family Planning in Kenya: Not For Women Only]</ref>. Ces dernières années, le gouvernement kenyan publia de nouvelles recommandations concernant la planification familiale et l'utilisation de contraceptifs. Selon celles-ci, les travailleurs de santé locaux peuvent effectuer des injections de contraceptifs sur les femmes, et proposer plus d'activités pour promouvoir la contraception et éduquer la population.<ref>[http://www.theeastafrican.co.ke/news/More-women-Kenya-using-birth-control-/-/2558/2704266/-/42iy6j/-/index.html More women in Kenya using birth control as counties drum up support]</ref>
Ce qui eut pour conséquence de faire augmenter le taux d'utilisation de contraceptifs. Les femmes appréciaient le fait que, grâce aux implants ou aux injections, elles n'avaient pas à se rappeler de prendre un comprimé chaque jour, et elles pouvaient aussi recevoir le traitement discrètement sans que leurs maris soient impliqués ou, dans certains, sans que leurs maris le sachent. Ces dernières années, les femmes pauvres des centres urbains ont beaucoup augmenté leur utilisation de contraceptifs.<ref>[http://www.nation.co.ke/lifestyle/DN2/Use-of-contraceptives-on-the-rise-among-Kenya-s-urban-poor/957860-3050450-mtejyi/index.html Use of contraceptives on the rise among Kenya’s urban poo]</ref>. Cependant, les travailleurs sociaux pensent toujours qu'il reste beaucoup de travail à faire. Les femmes des régions plus rurales ou isolées ont un taux très bas d'utilisation de la contraception (par exemple, seulement 2% de femmes des régions de Mandera et Wajir utilisent une forme de contraception).<ref>[http://www.theeastafrican.co.ke/news/More-women-Kenya-using-birth-control-/-/2558/2704266/-/42iy6j/-/index.html More women in Kenya using birth control as counties drum up support]</ref>

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Traditionally, men have played a large role in family planning. Husbands may have rejected the usage of contraceptives, so birth control pills (which women needed to take everyday and were publicly visible) were not always viable.<ref>[http://www.unfpa.org/news/family-planning-kenya-not-women-only Family Planning in Kenya: Not For Women Only]</ref> In the last few years, the Kenyan government issued new guidelines around family planning and contraceptive use. According to these new guidelines, community health workers could provide contraceptive injections to women, as well as providing more activities around advocacy and awareness.<ref>[http://www.theeastafrican.co.ke/news/More-women-Kenya-using-birth-control-/-/2558/2704266/-/42iy6j/-/index.html More women in Kenya using birth control as counties drum up support]</ref> 
As a result, the contraceptive usage rate began to increase. Women liked that, with contraceptive shots or implants, they didn't have to remember to take a pill everyday, and they could discreetly receive the treatment without their husbands being involved or, in some cases, even aware. In the last few years, poor women in urban centers have especially increased their contraceptive use.<ref>[http://www.nation.co.ke/lifestyle/DN2/Use-of-contraceptives-on-the-rise-among-Kenya-s-urban-poor/957860-3050450-mtejyi/index.html Use of contraceptives on the rise among Kenya’s urban poo]</ref> However, the community workers still feel that there's plenty of work to do. Women in more rural or remote areas still have very low contraceptive use (for example, 2% of women in Mandera and Wajir counties were reported to use contraception).<ref>[http://www.theeastafrican.co.ke/news/More-women-Kenya-using-birth-control-/-/2558/2704266/-/42iy6j/-/index.html More women in Kenya using birth control as counties drum up support]</ref>

Traditionnellement, les hommes ont toujours joué un grand rôle dans la planification familiale. Il est possible que les maris aient refusé l'utilisation de contraceptifs, ce qui fait que les pilules contraceptives (que les femmes devaient prendre tous les jours et étaient visibles), n'étaient pas une méthode sûre.[1]. Ces dernières années, le gouvernement kenyan publia de nouvelles recommandations concernant la planification familiale et l'utilisation de contraceptifs. Selon celles-ci, les travailleurs de santé locaux peuvent effectuer des injections de contraceptifs sur les femmes, et proposer plus d'activités pour promouvoir la contraception et éduquer la population.[2] Ce qui eut pour conséquence de faire augmenter le taux d'utilisation de contraceptifs. Les femmes appréciaient le fait que, grâce aux implants ou aux injections, elles n'avaient pas à se rappeler de prendre un comprimé chaque jour, et elles pouvaient aussi recevoir le traitement discrètement sans que leurs maris soient impliqués ou, dans certains, sans que leurs maris le sachent. Ces dernières années, les femmes pauvres des centres urbains ont beaucoup augmenté leur utilisation de contraceptifs.[3]. Cependant, les travailleurs sociaux pensent toujours qu'il reste beaucoup de travail à faire. Les femmes des régions plus rurales ou isolées ont un taux très bas d'utilisation de la contraception (par exemple, seulement 2% de femmes des régions de Mandera et Wajir utilisent une forme de contraception).[4]