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S'agissant des médecins, ils ne sont pas obligés d'effectuer des avortements volontaires. Cependant, s'ils refusent, ils doivent donner aux patientes potentielles une liste de lieux et de médecins qui effectueront des avortements. Sachez qu'un avortement ne peut être réalisé dans des établissements de santé, hôpitaux publics ou privés. La seule exception est si un accord a été trouvé entre le praticien ou centre de soins/planning familial, et la patiente. L'Etat déterminera alors d'un lieu adéquat.<ref>[http://worldabortionlaws.com/map/ World Abortion Laws: France]</ref>
S'agissant des médecins, ils ne sont pas obligés d'effectuer des avortements volontaires. Cependant, s'ils refusent, ils doivent donner aux patientes potentielles une liste de lieux et de médecins qui effectueront des avortements. Sachez qu'un avortement ne peut être réalisé dans des établissements de santé, hôpitaux publics ou privés. La seule exception est si un accord a été trouvé entre le praticien ou centre de soins/planning familial, et la patiente. L'Etat déterminera alors d'un lieu adéquat.<ref>[http://worldabortionlaws.com/map/ World Abortion Laws: France]</ref>


Les lois françaises sur l'avortement ont été significativement améliorées en 2014. Dans le passé, les avortements étaient uniquement permis si la continuation de la grossesse causait une "situation de détresse" pour la femme. Avec ces changements, les femmes peuvent maintenant accéder aux procédures d'avortement sur demande.<ref>[http://www.terrafemina.com/societe/societe/articles/47109-ivg-le-conseil-constitutionnel-valide-la-suppression-de-la-situation-de-detresse.html]</ref>. En 2016, la "semaine de réflexion" a été supprimée. Conformément à la loi actuelle, c'est seulement dans le cas ou les femmes demandent un soutien psychologique qu'une période de deux jours de réflexion est requise avant qu'elles confirment leur décision d'avorter. Cependant, certains hôpitaux demandent une lettre d'un médecin ou d'un conseiller familial avant de prévoir un rendez-vous. Ce n'est pas légal, mais très répandu.
Les lois françaises sur l'avortement ont été significativement améliorées en 2014. Dans le passé, les avortements étaient uniquement permis si la continuation de la grossesse causait une "situation de détresse" pour la femme. Avec ces changements, les femmes peuvent maintenant accéder aux procédures d'avortement sur demande.<ref>[http://www.terrafemina.com/societe/societe/articles/47109-ivg-le-conseil-constitutionnel-valide-la-suppression-de-la-situation-de-detresse.html/ Le Conseil Constitutionnel valide la suppression de la situation de détresse]</ref>. En 2016, la "semaine de réflexion" a été supprimée. Conformément à la loi actuelle, c'est seulement dans le cas ou les femmes demandent un soutien psychologique qu'une période de deux jours de réflexion est requise avant qu'elles confirment leur décision d'avorter. Cependant, certains hôpitaux demandent une lettre d'un médecin ou d'un conseiller familial avant de prévoir un rendez-vous. Ce n'est pas légal, mais très répandu.


As detailed in a UN Report, "The most recent development in French abortion law was occasioned by the activities of a small number of anti-abortion protesters.  In the early 1990s, they began a campaign of harassment of clinics where abortions were performed and of persons performing abortions.  They blockaded and invaded a number of hospitals and tried to discourage individual physicians from performing abortions.  To respond to such attacks, the Government in late 1992 enacted legislation establishing new criminal penalties in the Penal Code to combat disruptive activities.  Under these provisions, persons who prevent or attempt to prevent a voluntary termination of pregnancy by disrupting access to or the free movement of persons into and out of clinics or hospitals by threatening or engaging in any act of intimidation against medical and non-medical personnel are subject to fines and imprisonment.  The provisions also apply to acts directed towards abortion counselling and requests for abortion and allow organizations established to protect the right to contraception and abortion to join as a party in suits brought against such obstruction."<ref>[http://www.un.org/esa/population/publications/abortion/profiles.htm Abortion Profiles: France]</ref>
As detailed in a UN Report, "The most recent development in French abortion law was occasioned by the activities of a small number of anti-abortion protesters.  In the early 1990s, they began a campaign of harassment of clinics where abortions were performed and of persons performing abortions.  They blockaded and invaded a number of hospitals and tried to discourage individual physicians from performing abortions.  To respond to such attacks, the Government in late 1992 enacted legislation establishing new criminal penalties in the Penal Code to combat disruptive activities.  Under these provisions, persons who prevent or attempt to prevent a voluntary termination of pregnancy by disrupting access to or the free movement of persons into and out of clinics or hospitals by threatening or engaging in any act of intimidation against medical and non-medical personnel are subject to fines and imprisonment.  The provisions also apply to acts directed towards abortion counselling and requests for abortion and allow organizations established to protect the right to contraception and abortion to join as a party in suits brought against such obstruction."<ref>[http://www.un.org/esa/population/publications/abortion/profiles.htm Abortion Profiles: France]</ref>
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